Voici la collecte des mots pour votre concours de la Saint Valentin 2016
18 mots je n’en attendais pas moins de votre part
J’espère vous voir aussi nombreux pour vos participations.
Vous avez fait preuve de coquinerie pour certains
Un peu de piment pour cette fête de l’amour
Qui rime avec toujours pour les uns
Et avec four pour les autres n’est pas pour me déplaire
Voici sans attendre cette liste :
pensées – amour – beigne – besoin – toujours – courir
coeur – au delà – bouton – brulant – pipe
frénétique – facteur – épicé – louche
hypocrite – wagonnet – business
Vous avez jusqu’au 14 février pour m’envoyer vos lettres
A l’adresse suivante : blog.apln@gmail.com
J’insiste sur le fait que vos lettres restent secrètes
Jusqu’à la fin du concours, aucune publicité pour celles-ci
Ne sera faite dans votre entourage.
Les votes sont ouverts à tous, on vote un texte, pas un auteur.
Voilà les Nuls, je vous envoie à vos claviers
Surtout n’ayez aucun complexe,
Tout est permis sauf les gros mots 😉
Le ou la gagnante sera récompensé
Par un petit cadeau coquin ou pas 🙂
A bientôt les Nuls!!!
Domi.
Sous la couette, mais surtout parce que c’est douillet ! vu mon grand âge !
Je vais voir ce que je peux faire avec cette tripatouillée de mots, ça ne va pas être facile.
Bises et bon week-end.
Je sens qu’il va se passer des trucs avec le facteur !!!!
Moi je crains plus la pipe mdr!!!
G. le 9 février 2016
Mon amour, mon cher amour,
tu va être bien surpris de lire cette lettre. Il y a bientôt 44 ans que nous sommes mariés et c’est la première fois que je songe à honorer de cette façon la saint Valentin qui se profile à l’horizon.
Ne ris pas de mes vers de mirliton, ce que j’ai à te dire risque de ne pas te plaire.
Il y a des années que cela me taraude, j’ai décidé, malgré les beignes que j’ai eu parfois envie de te donner, de te dire ce qui me pèse sur l’estomac. J’aurais pu laisser courir encore un peu, ne pas amorcer la narration de cette déplorable histoire mais, je ne sais quel besoin pressant, cette année, me pousse à t’en parler.
Te souviens-tu de ces années où, absorbé par mon business, je négligeais un peu notre ménage ?
Je te croyais au delà de toutes tentations et j’ai été surpris de voir que tu te laissais conter fleurette par le facteur, ce type rempli de boutons, à l’haleine plutôt épicée. (Tu as pourtant toujours eu horreur de ces hommes qui fument la pipe.) Et moi, je ne trouvais rien de louche lorsque je vous surprenais en pleine conversation, il était tellement moche !
Son coeur était-il si brulant, ses assauts si frénétiques qu’ils compensaient largement ses défauts physiques ?
Tu ne pourras jamais imaginer les pensées qui me sont venues en tête. Mon comportement hypocrite me pesait, je ne pouvais garder plus longtemps ce terrible secret.
J’ai essayé de te trouver tout un wagonnet d’excuses, et je te l’avoue, cela a été fort difficile de ne pas te dire en temps voulu ce que je pensais de ta conduite. Il vaudrait mieux que tu ne cherches pas à nier cette sordide mésaventure, car j’ai la preuve de mon infortune entre les mains, je suis même prêt à te la montrer ! Mais à quoi bon ?
Je ne sais ce que tu penseras de cette misérable missive. Je te vois déjà trembler, frémir, paniquer. Cette aventure n’a duré que quelques jours, je l’ai su très vite, je sais aussi que c’est le seul coup de canif que tu as infligé au contrat qui nous liait depuis tant d’années. Ta conduite a été exemplaire ensuite et je n’ai eu qu’à me féliciter de tes bons et loyaux services. Il se pourrait bien que le petit repas que j’ai réservé dans notre restaurant préféré soit le signe du pardon magnanime que je t’octroierai. Je t’aime, n’en doute pas une seconde. Mais je te préviens, plus d’entorse au règlement, sinon…la photo que je détiens, sera publiée sur certains réseaux sociaux que tu affectionnes.
À tout à l’heure, mon amour…
je ne sais plus ce que je dois faire de cette lettre que j’avais écrite sur photoshop puisque j’y avais ajouté un petit montage fait à partir d’un tableau photographié chez une amie mercredi dernier. Tiens je te laisse tout ça ici… débrouille-toi ! 😀 Bises
zut, c’était anonyme normalement mais puisque tu dois valider tu peux ne pas la montrer ! Ouf ! 😀
Je repars m’occupar de Clément qui a attrapé la « roséole » ! Heureusement ce sont les vacances il est au chaud chez papy mamie