Orthographe : La science qui épelle avec l’oeil à la place de l’oreille!

La Commission Européenne adopte enfin l’eurofrançais comme langue officielle

BRUXELLES – La Commission européenne a finalement tranché :

Après la monnaie unique, l’Union européenne va se doter d’une langue unique,

A savoir… le français.

Trois langues étaient en compétition :

Le français (parlé par le plus grand nombre de pays de l’Union,

La France, la Belgique, le Luxembourg),

L’allemand (parlé par le plus grand nombre d’habitants de l’Union)

L’anglais (langue internationale par excellence).

L’anglais a vite été éliminé, pour deux raisons :

L’anglais aurait été le cheval de Troie économique des États-Unis

Et les Britanniques

Ont vu leur influence limitée au profit du couple franco/allemand en raison

De leur légendaire réticence à s’impliquer dans la construction européenne.

Le choix a fait l’objet d’un compromis, les Allemands

Ayant obtenu que l’orthographe du français,

Particulièrement délicate à maîtriser, soit réformée,

Dans le cadre d’un plan de cinq ans,

Afin d’aboutir à l’eurofrançais.

 

1. La première année

Tous les accents seront supprimes et les sons actuellement distribues

Entre « s » , « z » , « c » , « k » et « q » seront repartis entre « z » et « k » ,

Ze ki permettra de zupprimer beaukoup de la konfuzion aktuelle.

 

2. La deuzieme annee

On remplazera le « ph » par « f » , ze ki aura pour effet de rakourzir

Un mot comme « fotograf »

De kelke vingt pour zent.

 

3. La troizieme annee

Des modifikations plus draztikes zeront pozibles, notamment ne plus redoubler les lettres

Ki l’etaient: touz ont auzi admis le prinzip de la zuprezion des « e » muets,

Zourz eternel de konfuzion, en efet, tou kom d’autr letr muet.

 

4. La katriem ane

Les gens zeront devenus rezeptifs a des changements majeurs, tel ke remplazer

« g » zoi par « ch » , zoi par « j » , zoi par « k » , zelon les ka, ze ki zimplifira davantach l’ekritur de touz.

 

5. Duran la zinkiem ane

Le « b » zera remplaze par le « p » et le « v » zera lui auzi apandone, au profi du « f » .

Efidamen, on kagnera ainzi pluzieur touch zu le klafie.

Un foi ze plan de zink an achefe, l’ortokraf zera defenu lochik,

Et les chen pouron ze komprendr et komunike.

Le ref de l’Unite kulturel de l’Europ zera defenu realite !

La rechion la mieu prepar en Europ est l’Alzaz.

90 % de la polulazion le pratik décha couram’ en

 

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Nan mais allo quoi!!!

Le « Nan mais allo quoi ! » de Nabilla devient une marque déposée, si si!!!

La phrase de Nabilla, qui a fait rire la France entière, est devenue culte.

La principale intéressée, Nabilla Benattia, vient justement de déposer

« Allo t’es une fille t’as pas de shampoing

c’est comme si t’es une fille t’as pas de cheveux »

A l’Institut national de la propriété intellectuelle (INPI).

Suis pas une cruche nan mais allo quoi 😉

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Et arrêtez de me traiter de nulle

Ou je dépose… le bilan

Nan mais allo quoi!!!

Suis verte de rage!!!

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Remarquons au passage que si l’on dit « les animaux » au pluriel,

On dit « l’homme » au singulier.

Parce que l’homme est unique.

De même, nous dirons que les animaux font des crottes,

Alors que l’homme sème la merde

Pierre Desproges

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=sKT3eet96e8[/youtube]

 

La gentillesse est un langage…

Deux hommes, les deux très sérieusement malades,

Occupaient la même chambre d’hôpital.

Un des deux devait s’asseoir dans son lit

Pendant une heure chaque après-midi afin

D’évacuer les sécrétions de ses poumons.

Son lit était à côté de la seule fenêtre de cette chambre.

L’autre homme devait passer ses journées couché sur le dos.

Les deux hommes conversaient pendant des heures.

Ils parlaient de leurs épouses, de leur famille, de leur maison, de leur emploi,

De l’époque de leur service militaire et des endroits où ils étaient allés en vacances.

Chaque après-midi, quand l’homme du lit près de la fenêtre pouvait s’asseoir,

Il passait du temps à décrire à son compagnon de chambre

Tout ce qu’il pouvait voir dehors.

L’homme de l’autre lit commença ainsi à vivre

Dans l’attente de ces périodes d’une heure :

Son monde s’élargissait et s’égayait par toutes les activités

Et les couleurs du monde extérieur qui lui étaient racontées.

De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac.

Les canards et les cygnes jouaient sur l’eau tandis que les enfants

Faisaient naviguer leurs bateaux miniatures.

Les jeunes amoureux marchaient bras dessus bras dessous

Parmi des fleurs de chaque couleur de l’arc-en-ciel.

De grands arbres décoraient le paysage et on pouvait apercevoir

Au loin la ville se dessiner.

Pendant que l’homme près de la fenêtre

Décrivait tout ceci avec des détails exquis,

L’homme de l’autre côté de la chambre fermait

Les yeux et imaginait la scène pittoresque.

Lors d’un bel après-midi, l’homme près de la fenêtre

Lui décrivit une parade qui passait par là.

Bien que l’autre homme n’ait pu entendre l’orchestre,

Il pouvait le voir avec les yeux de son imagination,

Tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante

Avec des mots poétiques et au travers un descriptif précis.

Les jours et les semaines passèrent.

Un matin, à l’heure du bain, l’infirmière trouva le corps sans vie

De l’homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil.

Attristée, elle se fit aider par les préposés pour enlever le corps.

Dès qu’il sentit le moment approprié, l’autre homme

Demanda à l’infirmière si elle pouvait le déplacer à côté de la fenêtre.

Heureuse de lui accorder cette petite faveur,

Elle s’assura de son confort, puis le laissa seul.

Lentement, péniblement, le malade se souleva un peu,

En s’appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d’oeil dehors.

Il aurait enfin la joie de voir par lui-même ce que son compagnon

Avait su si bien lui décrire…

Or, de l’autre coté de la petite cour intérieure,

Tout ce qu’il vit, ce fut le grand mur du bâtiment voisin !

L’homme demanda à l’infirmière pourquoi

Son compagnon de chambre décédé

Lui avait dépeint une toute autre réalité.

L’infirmière répondit que l’homme était aveugle

Et ne pouvait même pas voir le mur.

« Peut-être, a-t-il seulement voulu vous encourager. »

Commenta-t-elle.

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